Le projet Diva permet à l’équipe chirurgicale de préparer et répéter son geste avant l’opération, d’anticiper la localisation des tumeurs et d’identifier les marges saines.
Le projet DIVA a pour but de mêler cognition humaine, réalité virtuelle et apprentissage machine afin de profondément changer la visualisation et l’analyse d’images médicales. DIVA accompagne le personnel hospitalier de l’ordinateur du radiologue à la salle de chirurgie.
Le développement ces 20 dernières années de recherche avancée, dites «deeptech», sous la forme de petites structures privées flexibles, modifie profondément la façon d’envisager la recherche, l’innovation et l’avenir des jeunes chercheurs, ingénieurs et créateurs. Les startups sont capables à la fois de faire réellement avancer les connaissances tout en essayant d’avoir un impact sociétal immédiat.
Le projet Diva permet à l’équipe chirurgicale de préparer et répéter son geste avant l’opération, d’anticiper la localisation des tumeurs et d’identifier les marges saines.
Ce prix StartULM deeptech est pour nous une reconnaissance de la nature technologiquement innovante de notre projet, de la volonté de l’ENS et PSL de faire rayonner leurs institutions dans le monde entrepreneurial, mais aussi une validation de la future viabilité de la startup que nous allons créer. Ce prix a ouvert de nombreuses portes, nous permettant de travailler en profondeur la transition entrepreneuriale tout en nourrissant notre projet de nouvelles collaborations dans le domaine hospitalier recherche.
Enfin, ce prix fut pour nous un hommage au troisième fondateur de notre projet, Maxime Dahan, décédé 4 mois auparavant et qui fut un ancien thésard et chercheur à l’ENS au laboratoire Kastler Brossel.
JEAN-BAPTISTE MASSON